Cette page n’a pas encore été corrigée
IV
Ah ! Samela, murmura-t-elle à
voix basse, que je me sens loin de
tous ces gens-là… » (Page 267.)Charlette et Samela étaient encore occupés à peindre dans le parc, au pied des ruines du mou- lin, lorsque madame Bescherelle mère apparut dans une allée à quelque distance, se hâtant de les joindre.
— Voici madame Amélie, annonça le peintre à demi-voix, employant par imperceptible ironie l’appellation que la douairière aimait qu’on lui donnât, par vague réminiscence royale qui plaisait à son orgueil et surtout par dédain du nom roturier que lui avait laissé son mari.
Charlette releva la tête avec une contrariété.
— Comment déjà !… Quelle heure est-il donc ?
Samela fit un geste d’ignorance.