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vi

le supplice de la mouche


Malgré l’épuisement que nous avait causé l’assaut de la chaleur, au cours du terrible après-midi dont j’ai essayé de donner une idée, les précautions hygiéniques ne devaient pas être négligées.

Après un soupir de satisfaction poussé sur nos chaises, on alla exécuter une opération qui devait nous être de plus en plus familière sous ce climat torride et qui, d’un seul coup, semble, en rafraichissant le corps, renouveler l’être entier : celle des ablutions et du changement de maillots. Et je prie de croire que nos maillots de laine contenus