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la plaine du chéliff


En se séparant, après la joyeuse veillée du mercredi 25 septembre, on s’était donné rendez-vous au lendemain matin six heures, devant le siège du club oranais.

À l’heure dite, on était au rendez-vous, en masse.

Plusieurs amis étaient venus nous éveiller à notre hôtel, l’Hôtel Victor, dès cinq heures et demie ; réveil lourd chez moi, atroce surtout après le festival de la veille. Mais la bicyclette à forte dose allait nous remuer les membres.

— Allons ! les amis ! c’est l’heure. Temps