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La Guélotte ne le revit que vers une heure du matin, aussi saoul que le soir de l’entrée de Miraut dans la maison. Connaissant sa capacité et sa résistance à l’ivresse, elle jugea de ce qu’il avait dû avaler et, par contre-coup et conséquence, de l’argent qu’il avait probablement dépensé. Alors, après les avoir invectivés violemment tous deux, elle jura à son époux qu’elle foutrait le camp de la maison puisque cette sale charogne de « viôce », non contente de lui faire toutes les misères possibles, était encore un prétexte à saoulerie pour son arsouillé de patron.

— Comme s’il n’avait déjà pas assez d’occasions sans ça !