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DEUXIÈME PARTIE


CHAPITRE PREMIER


Tant que ne fut point close la chasse, Lisée, chaque fois qu’il eut à sortir du côté des champs ou des bois, ne manqua jamais d’emmener son chien avec lui.

Successivement il lui apprit à bien faire les lisières sans oublier une rentrée, à tenir un champ de betteraves ou de pommes de terre, à vérifier les trèfles, à sonder les luzernes, à longer une haie de telle façon que le gibier partit du côté du chasseur, et Miraut ne laissa plus un seul buisson d’inexploré du jour où son maître, l’obligeant pour la quatre-vingt-dix-neuvième fois