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L’ABBAYE-AUX-BOIS.

» Pour moi, je ne pus jamais l’aimer, et en vérité j’avais tort, car elle méritait de l’être. L’époque de la mort de madame de Rochechouart fut la première fois que je désirai de sortir du couvent. »

Ici se terminent les Mémoires, écrits par la jeune princesse, pendant son séjour à l’Abbayeaux-Bois. Désormais nous devrons raconter nous-même l’histoire de sa vie, en puisant les éléments de notre récit dans sa correspondance, celle de sa famille, ses carnets de notes et les renseignements recueillis par nous à la suite de patientes recherches.