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TABLE DES MATIÈRES.
12, N. ; — (résultat dernier de la doctrine), VII, 9, N. ; — (l’école) a toujours soutenu l’unité de matière sous la variété infinie des transformations, VII, 23, N. ; — (l’école) n’avait pas toujours pris un soin suffisant de l’extérieur dans l’individu, VII, 60, N. ; — (l’école) a été plus modérée sur la séparation de l’âme et de son enveloppe corporelle, que ne l’ont été les ascètes de l’Hellénisme ou les ascètes chrétiens, VIII, 28, N. ; — (l’école), un de ses axiomes, X, 32, N. ; — (l’école) n’a pas su se défendre assez du panthéisme, XII, 30, N.
Stoïciennes (dans les doctrines), l’idée de société s’étend jusqu’à l’ordre universel des choses, VII, 5, N.
Stoïciens (les), un de leurs paradoxes favoris et un des plus étranges, quoiqu’il découlât très-logiquement de leurs principes, II, 10, N. ; — le suicide dans leur doctrine, III, 1, N. ; — pensent qu’on ne peut comprendre sans difficulté la matière et les mouvements des objets sensibles, V, 10 ; — donnaient au mot indifférent un sens spécial, V, 20, N. ; — (les) laissent dans le doute le problème de la création ; leur doctrine, V, 21, N.
Stoïcisme (le), en quoi il a été plus éclairé que tout ce qui l’a suivi, II, 9, N. ; — (le) a, sous un autre forme, une idée aussi haute de la personne humaine que le Christianisme, III, 6, N. ; — (le) confond trop souvent Dieu avec la commune nature, IV, 29, N. ; — point sur lequel il est aussi spiritualiste qu’il est possible de l’être, IV, 37, N. ; — (le) sous les empereurs despotiques qui avaient précédé Marc-Aurèle, avait préparé au martyre bien des âmes, qui ne fléchirent pas, IV, 49, N. ; — (le) n’a point dépassé l’impassibilité avec laquelle les sauvages et les barbares savent en général mourir, IV, 50, N. ; — un de ses plus grands côtés est d’avoir tant présumé des forces de l’âme de l’homme, V, 19, N. ; — point sur lequel il est impossible d’être plus spiritualiste qu’il n’a été, VI, 8, N. ; — (le) a appris à l’homme la soumission à la volonté divine et la résignation, VI, 16, N. ; — (le) a recueilli la distinction du corps et de l’âme d’après Socrate et Platon, VI, 32, N. ; — (le), une de ses grandes maximes est : S’abstenir de jugements trop prompts, VI, 52, N. ; — (le) n’exclut pas une quiétude ascétique, VII, 28, N. ; — (il est assez remarquable que le) puisse invoquer l’autorité d’Épicure, VII, 64, N. ; — (le) l’idée du bonheur ne tient qu’une place très-secondaire dans toutes ses théories, VII, 67, N. ; — ne demande à son élève, pour braver l’opinion, même quand elle est inique, et pour supporter les tortures et les supplices du corps que le courage montré par les martyrs chrétiens, VII, 68, N. ; — (le) une de ses prescriptions les plus essentielles, VII, 75, N. ; — haute idée qu’il s’était faite de la nature, de l’univers et de Dieu, passage cité de Sénèque, Préface des Questions naturelles, VIII, 26, N. ; — reproche injuste qu’on lui a adressé trop souvent, VIII, 28, N. ; — un de ses premiers principes, si ce n’est le premier de tous, VIII, 29, N. ; — une de ses théories les plus importantes, quoiqu’elle puisse à