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TABLE DES MATIÈRES.
ses maîtres, VI, 30, N. ; — (la), son œuvre, IX, 19 ; — il ne faut jamais lui faire défaut, IX, 41 ; — matérialiste ; fondement plus spécieux que solide sur lequel elle s’appuie, X, 7, N.
Philosophies (parmi toutes les), il n’en est pas une qui ait affirmé plus énergiquement le libre arbitre de l’homme, que l’école stoïcienne, X, 32, N.
Phocion, sa conduite généreuse envers ses ennemis, si toutefois ce n’était pas une feinte, XI, 13 ; — (mot de), cité sur le fils de Chabrias, qu’il avait sous ses ordres, XI, 13, N.
Phœbus, Philistion, Origanion, gens inconnus, et que Marc-Aurèle ne paraît pas tenir en grande estime, VI, 47, N.
Piété, vertu qui contribue au salut de la société, XI, 20.
Pitié (sorte de), que méritent les hommes qui ignorent les vrais biens et les vrais maux, II, 13.
Plaisir que cause l’image des vertus éclatantes de ceux qui vivent avec nous, VI, 48 ; — (le) n’est ni une chose utile, ni un bien, VIII, 10 ; — en quoi il consiste, VIII, 43.
Plan (le) général de l’univers, décrété par les Dieux, VI, 44.
Plantes, observation la plus ancienne qu’on puisse citer sur leur respiration, VI, 16, N.
Platon ; son Criton, traduction de M. V. Cousin, cité sur cette pensée : Qu’il ne faut ni dire, ni faire aucun mal à personne, V, 31, N. ; — dans le Timée, exprime la même pensée que Marc-Aurèle sur la perfection de Dieu, VI, 1, N. ; — passage du Criton, cité sur le devoir ; la pensée de Marc-Aurèle en est comme un écho, VI, 2, N. : — les Lois, Xe livre ; ses admirables démonstrations pour établir, comme le fait Marc-Aurèle, que les Dieux s’occupent de nous, VI, 44, N. ; — (pensée de), citée sur l’estime que fait de la vie celui qui a l’âme noble et élevée, VII, 35 ; — (extrait de), fragment emprunté à la République, de Platon, par Marc-Aurèle, VII, 35, N. ; — (extraits de), Apologie de Socrate, traduction de M. V. Cousin, VII, 44 et 45, N. ; — (pensées de), citées, VII, 44, 45 et 46 ; — citation du Gorgias, traduction de M. V. Cousin, VII, 46, N. ; — (belle pensée de), citée, sur les choses qu’il faut envisager, en discutant sur l’homme, VII, 48 ; — (une belle pensée de), ne se retrouve plus dans les œuvres du philosophe ; le ton de cette pensée ne rappelle guère le style habituel de Platon, VII, 48, N. ; — cité sur le sens qu’il entendait donner à cette expression : La philosophie est l’apprentissage de la mort, VII, 56, N. ; — et Xénophon, cités comme témoins des faits attestés sur Socrate, auxquels Marc-Aurèle fait allusion, VII, 66, N. ; — sa doctrine citée, et qu’il a soutenue dans le Protagoras, dans les Lois et dans plusieurs autres Dialogues, VII, 63, N. ; — avait déjà donné ces conseils sur la séparation de l’âme et de son enveloppe corporelle, VIII, 28, N. : — son Phédon, cité sur cette pensée : Ne plus rien sentir, VIII, 58, N. ; — (une république de), inutile de songer à son existence, IX, 29 : — (la République de) est un idéal inaccessible, selon Marc-Auréle ; appré-