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TABLE DES MATIÈRES.
plaisir, III, 2 ; — (l’) bien châtié, n’a nulle sanie dans sa pensée, III, 8 ; — (l’) de bien, facultés qui lui sont propres, III, 16 ; — (l’) de bien, en quoi son bonheur consiste, IV, 25 ; — (l’) comparé à un monde bien réglé, IV, 27 ; — (l’) qui part de la vie avec résignation, comparé à l’olive mûre qui tombe eu bénissant la terre, sa nourrice, IV, 48 ; — (l’) qui fait le bien, comparé à la vigne, qui porte son fruit, V, 6 ; — (l’) qui a fait le bien a un mérite particulier à le faire, V, 6, N. ; — (comment l’) vit heureux, V, 36 ; — (en quoi l’) sensé fait consister son bien, VI, 2 : — (à quoi se réduit le devoir de l’) VI, 33, N. : — (le propre de l’) est d’aimer ceux mêmes qui l’offensent ; comment il y arrive, VII, 12 ; — (il faut être) de bien, quoi qu’on fasse ou qu’on dise, VII, 15 ; — (on peut être un) divin sans être connu de personne, VII, 67 ; — (l’) divin, mot du texte même de Marc-Aurèle, VII, 67, N. ; — (comment l’) se trouve dans la joie, quand il fait ce qui lui est propre, VIII, 26 ; — (Marc-Auréle montre admirablement les rapports qui unissent l’) à Dieu, VIII, 34, N. ; — (l’), par lequel tu veux être loué, ou auquel tu veux plaire, VIII, 52 ; — (l’) sage doit attendre la mort comme une des fonctions de la nature ; maxime pour la lui faire envisager avec un calme profond, IX, 3 ; — (l’) est un complément du système social et du système universel, IX, 23 ; — (l’) est né pour faire le bien, comparé aux parties du corps, faites dans un certain but, IX, 42 ; — (l’) est une partie du tout que gouverne la nature, X, 6 ; — (l’) qui s’afflige, comparé à un porc, X, 28 ; — (l’) devient meilleur quand il fait un bon usage des difficultés qu’il rencontre. X, 33 ; — (un) de quelque sens, après une vie de quarante ans, a vu tout ce qui a été et tout ce qui doit être, XI, 1 ; — (moyen de devenir) de bien, XI, 5 ; — (l’) séparé de la société mis en parallèle avec une branche détachée de son tronc, XI, 8 ; — (l’) franc et vertueux se fait connaître aussitôt qu’un homme qui aurait une mauvaise odeur, XI, 15 ; — (comment on devient un) digne du monde qui nous a donné l’être, XII, 1 ; — (l’), son grand pouvoir, XII, 11 ; — (l’) ne vit que le moment présent, XII, 26 ; — (songer à ce qu’est l’), depuis sa conception jusqu’à ce qu’il ait une âme, XII, 33 ; — (l’) qui n’envisage pas la mort avec effroi, XII, 35.
Hommes (l’hostilité des) entre eux est contre nature, II, 1 ; — qui ont jeté une merveilleuse splendeur, IV, 33 ; — (les) sous un certain point de vue, nous sont unis par un lien étroit ; sous un autre, ils nous sont chose indifférente, V, 20 ; — distingués ; ce qu’ils admirent, VI, 14 ; — (on ne veut point louer les) de son temps, VI, 18 ; — morts, de toutes conditions, de toutes nations, VI, 47 ; — (combien d’) jadis célèbres, sont oubliés aujourd’hui, VII, 6, N. ; — dont les âmes sont toujours dans le même calme, et hommes agités de projets divers, VIII, 3 ; — pénétrants et spirituels, VIII, 15 ; — qui se méprisent réciproquement se font des compliments réciproques ; et ceux qui cherchent à se supplanter se font des soumissions les