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TABLE DES MATIÈRES.
aussi celle que Marc-Aurèle exprime, VIII, 51, N. ; — cité sur la manière dont il a compris le rôle de la philosophie, IX, 29, N. ; — discours de la Méthode, cité sur les conseils analogues, à ceux de Marc-Aurèle, qu’il y donne, X, 12, N.
Déserteur (le) défini, X, 25.
Désignation qui concerne évidemment les Épicuriens, qui ne regardaient pas la mort comme un mal, XII, 34, N.
Désir, son but, IX, 31.
Désirs, conditions qu’il faut mettre à nos désirs, XI, 37.
Dessein que nous nous proposons, en acceptant du secours d’autrui, VII, 7.
Destin (le), ce qu’il a fixé pour l’homme, VIII, 37 ; — de Socrate, et de Jésus-Christ, X, 15, N. ; — dans le sens où l’avait entendu l’antiquité jusqu’aux temps d’Anaxagore, de Socrate et de Platon, XII, 14, N.
Destinée (la) dispense les lois de l’univers, III, 4 ; — ne brise jamais une vie incomplète dans l’homme qui est pur de tout péché, III, 8 ; — cause suprême, V, 8 ; — moyens par lesquels on prétend la détourner, VII, 2.
Détail (l’égalité d’un) isolé avec le tout ; interprétation de cette pensée, VIII, 7, N.
Devoir (tout), dans la vie, se compose de l’accomplissement d’un certain nombre de choses, VI, 26 ; — d’une saine raison, X, 35.
Devoirs (les) que la société impose à ses membres ; préoccupation constante de Marc-Aurèle, et idée qu’il s’en fait, V, I, N.
Dieu (le) qui réside en nous, III, 5, N. ; — (passage qui suffirait à prouver que Marc-Aurèle n’a pas toujours confondu) et le monde, sur les pas du Stoïcisme, V, 10, N. ; — (un) sans sagesse n’est pas même chose facile ii imaginer, VI, 44 ; — (un seul), qui est dans tout, VII, 9 ; — qui est partout, est un ; affirmation complète de l’unité de Dieu et de l’unité systématique du monde, VII, 9, N. ; — auquel il faut obéir ; il fait tout par des lois, selon le poëte, VII, 31 ; — s’en remettre il lui sur la durée de notre existence, VII, 46 ; — a permis à l’homme, ou de ne jamais se laisser arracher de son tout, ou, quand il en a été arraché, de s’y rejoindre, VIII, 34 ; — honneur dont il a gratifié l’homme ; nulle part Marc-Aurèle n’a mieux montré les rapports qui unissent l’homme à Dieu, VIII, 34, N. ; — n’a pas voulu qu’il fût au pouvoir d’un autre de nous rendre malheureux, VIII, 56 ; — porte son fruit comme l’homme porte le sien ; assimilation un peu audacieuse, IX, 10, N. ; — existant, tout est bien, IX, 38 ; — la vraie manière de le prier, IX, 40, N. ; — tient toujours le droit chemin, X, 11 ; — comment il voit les âmes ; son intelligence, XII. 2.
Dieux (les) ont donné à l’homme un pouvoir efficace, qui peut le garantir de tomber dans les maux véritables, II, 11 ; — (honorer et bénir les) ; depuis Marc-Aurèle, personne n’a parlé sur ce sujet mieux que lui, V, 33, N. ; — (le secours des) à invoquer en toutes choses, VI, 23 ; — (les) ont décrété le plan général de l’univers, et, par conséquent, tout ce qui nous arrive ; croire le con-