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TABLE DES MATIÈRES.

Bien (le) suprême, c’est l’utile, III, 6 ; — (le) pour celui qui met au premier rang son intelligence, en quoi il consiste, III, 7 ; — (le) de l’être raisonnable dans la société de ses semblables, V, 16 ; — (le) et la justice, un vers d’Aristophane dans les Acharniens, VII, 42, N. ; — (la source du) est intarissable, pourvu que tu l’approfondisses toujours, VII, 59 ; — (après avoir fait le) n’imite pas les fous qui le regrettent, VII. 73 ; — (le) que nous pouvons faire, VII, 74 ; — (le vrai), ce qu’il est, et ce qu’il mérite, VIII, 10 ; — (le) et le mal, en quoi ils consistent pour l’être raisonnable, IX, 16.
Biens et maux distribués aux hommes vertueux et aux méchants, parce qu’il n’y a dans ces biens et ces maux rien d’honnête ni rien de honteux, II, 11 ; — (les) véritables, idée qu’il faut s’en faire, V, 12 ; — (les) véritables ; biens prétendus, V, 15 ; — et maux pour lesquels on peut se plaindre ou ne se plaindre pas des Dieux, haïr ou ne haïr pas les hommes, VI, 41 ; — (les) que l’on cherche à atteindre par une voie détournée ; comment on les peut posséder dès maintenant, XII, 1.
Bienveillance, motif pour lequel elle nous a été donnée, IX, 11 ; — sens dans lequel il faut entendre ce mot, IX, 11, N. ; — (la) est invincible, XI, 18.
Bisaïeul (le) de Marc-Aurèle, Annius Vérus, sa patrie, sa charge, I, 1, N. ; — (le) maternel de Marc-Aurèle, Catilius Sévérus, avait été préfet de Rome et consul en l’an 120, I, 4, N. ; — (le) de Marc-Aurèle ; son précepte sur l’éducation des enfants ; sa maxime, I, 4.
Bleus (les) et les Verts, origine de ces factions ; leur rôle politique. I, 5, N.
Bon (le) et le mauvais pour l’homme, VIII, 1.
Bonheur (mener une vie de), par quels moyens, III, 12 ; — (le) de l’homme de bien, en quoi il consiste, IV, 25 ; — (le) ou le malheur des hommes, IV, 49 ; — (l’idée du) ne tient qu’une place très-secondaire dans toutes les théories du Stoïcisme, VII, 67, N. ; — (le) où il se trouve, VIII, 1 ; — (la recherche du) n’a jamais été une des préoccupations du Stoïcisme, VIII. 1, N.
Bossuet, cite sur l’égalité des hommes, II, 1, N. ; — cité sur la raison, II, 2 et 3, N. ; — cité sur la mort, II, 4, N. ; — cité sur la pensée de la mort, II, 6, N. ; — cité sur les relations de l’homme à Dieu, II, 12, N. ; — cité sur la fraternité humaine, II, 13, N. ; — cité sur la grandeur de l’homme, II, 16, N ; — cité sur le suicide, III, 1, N. ; — cité sur la vie contemplative, III, 7, N. ; — cité sur l’enseignement du mépris de la mort, IV, 1, N. ; — a employé une image toute pareille à une métaphore délicate et très-juste de Marc-Aurèle, IV, 15, N. ; — cité sur le concours de toutes les parties du monde, V, 8, N. ; — cité sur la matière, V, 23, N. ; — cité sur la sensation, V, 24, N. ; — cité sur l’attention à suivre la voix de Dieu, V, 27, N. ; — cité sur l’enseignement de la morale, V, 28, N. ; — cité sur les vrais biens ; remède contre les inimitiés, VI, 41, N. ; — cité sur la perfection de la vertu, VII, 69, N. ; — cité pour la solennité de son style, quand il parle de « ce