est de l’école de Lyon, comme M. Compte-Calix. celui-ci fait tout ce qui concerne son état de peintre à sujets. Mais il traite tous les sujets, les tendres les religieux et les érotiques. Le tout est d’une exécution fort commune, mais d’une certaine habileté et fournit des modèles nombreux de lithographies qu’on rencontre soit dans les alcôves du quartier Bréda, soit dans les églises ou les écoles primaires, suivant le titre qu’elles portent. Les artistes qui ont de la prétention au grand style traitent assez dédaigneusement les œuvres de M. Compte-Calix, mais je n’ai jamais su pourquoi ils mettaient au-dessus celles de M. Ch. Muller.
CORNU (Sébastien-Melchior ). -Peintre d’église, élève de M. Ingres. C’est tout. Un excellent homme, à ce qu’on assure.