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est peuplée non plus de paysans, mais de sortes d’animaux faméliques, réduits souvent à se nourrir d’herbes et de racines, et qu’un écrivain du temps nous a montrés n’ayant plus, je ne dis pas les droits et la vie de l’homme, mais même l’apparence humaine.

Cette belle époque, est ce qu’on appelle le grand siècle.