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FRANCIS CARCO

Ton peignoir qui claquait dans le vent de la rue,
Tes seins placés très bas, ton sourire moqueur,
Exigent, irritant la bohème et mon cœur,
La chanson aigre-douce où tu m’es apparue.

Ah ! te faire danser une polka nouvelle
Quand la pluie affolée éclate sur le toit
Puisque tu viens t’asseoir, je vais moudre pour toi
Le plus cher de mes lieds au piano manivelle.