Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Ambre de « Mon enfant, ma sœur… ? »
Lilas musqué de Perse ?
Ce troisième où dort la douceur
D’avril après l’averse ?
Laisse. Il ne souhaite aujourd’hui,
En son plus tendre rêve,
Que le parfum qui monte à lui,
Lorsque ton bras se lève.
III
Belle à damner. Et ce fichu,
Le diable l’entrebâille.
On jurerait d’un pied fourchu
Dans l’ombre de la faille.
L’œil est menteur comme un baiser.
La bouche, si charnue,
Malgré le rouge à déguiser,
La bouche est toute nue