Page:Pellerin - Le Bouquet inutile, 1923.djvu/156

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Le destin propose à la chance
Une joute aux échecs
Et tous, esclaves, femmes, cheiks,
Tous les humains en danse.

On pousse roi, fou, cavalier,
Au hasard de la guise.
— Va-t-il me prendre ? — M’oublier ?
Et le désir s’aiguise.