CLIO politique et militaire, mais il est dessous une marche militaire et même une marche guerrière, et il est sous son ironie plus apparente que réelle une marche de funérailles. Mettons que c'est une sorte de romance de funérailles. De cette romance de funérailles Beaumar- chais a retenu la romance et des funérailles Hugo a fait ce lugubre enterrement.
La vieille chanson était et une danse et une marche et une ronde et un cortège et toute une cérémonie de fu- nérailles. Beaumarchais en a retenu, il en a fait une danse et une ronde, non pas une marche, il en a fait un cortège et toute une cérémonie de peine. Une sorte de ronde de grâce, de tristesse et de peine. Hugo en a fait une ronde aussi, puisqu'une Danse macabre est originairement et littéralement une danse. Une ronde.
��— Et la peine, dit-elle, est-ce pas la même peine. Et mort, est-ce pas la même mort.
��(Elle se reprit). — Pour mesurer, dit-elle, tout ce qu'il y a de tristesse dans cette romance de Chérubin, (et même dans tout ce rôle, comme ils disent), il suffit certainement de l'entendre chanter. (Et dele voirjouer). Mais on n'a point cette mesure véritablement accomplie si on n'a point lu cette autre pièce extraordinaire dont
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