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non pas seulement sur sa carrière mais sur son œuvre même.

��Il avait certainement la hantise de la guillotine. Il n'avait pas seulement la hantise des assassins. Il en avaitla connaissanceet pour ainsi dire la compétence et l'érudition. Messieurs lesassassins le lui ont bien rendu. Ils lui ont rendu en effet de réussir cent fois non pas assurément dans le tragique, mais enfin dans le théâ- tral ensanglanté. C'est tout ce que l'on pouvait raison- nablement leur demander. C'est tout ce que l'on pou- vait attendre d'eux. Ils ont fait plus. Sortant de leurs propres tombes ils en ont fait sortir pour lui cette unique danse macabre du Nénuphar. Et Lacenaire et Robert Macaire ces assassins poussent même la docilité jus- qu'à lui fournir eux-mêmes deux rimes en aire de noms propres. Etluiqui sait ne manque pas de les placer bien.

��Reprenons, dit l'histoire, notre leçon de technique. Non pas celle que nous donnons, certes, mais celle que nous recevons de ce grand texte. Lisons seulement ce texte. Loin d'être infidèle au rythme traditionnel et légué, à la coupe traditionnelle et léguée, loin de la relâcher, loin de s'en détendre il l'a rendue plus stricte

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