(Mon Dieu comme ces bonnes gens des campagnes, comme ces vignerons des coteaux d’Orléans ont raison de savoir que je suis un professeur). Je vous rétorquais qu’il avait voué son poème aux pires désastres en le plaçant sous l’invocation de Fénelon. Que tout ce qui venait de Fénelon portait malheur. Que c’était un propre encouragement au bafouillage, une garantie de bafouillage, et qu’il avait suivi ce propre encouragement. Qu’au surplus ces paysages, (dans la nature), étaient infiniment plus beaux que pour du Fénelon. Que c’était un rude contresens que de les avoir mis sous l’invocation de Fénelon. Que c’était un sinistre patron. Qu’au demeurant cette phrase montée en épingle, et sur laquelle on s’extasie dans les pensionnats : Un horizon fait à souhait pour le plaisir des yeux était la phrase que je haïssais le plus de toute la littérature française ; et de toutes les littératures que je connais ; et de celles que je ne connais pas. Qu’elle m’agace ; et en elle-même ; et parce qu’elle est de Fénelon ; et parce qu’elle est je crois de Télémaque. D’abord on la cite toujours. Et moi je n’aime pas les citations.
Des vers connus ; des vers trop connus ; des vers inconnus ; des vers méconnus. Ilss n’étaient peut-être pas tous de Victor Hugo. Qui passant devant le Sénat qu’on répare, (lui aussi il se refroidit sous le soleil joyeux), palais du Luxembourg, côté du Luxembourg, et voyant de joyeux maçons syndiqués, (à moins que ce ne soit de joyeux maçons fonctionnaires ; ou plutôt c’est certainement les deux ensemble), monter allègre-