n’existent peut-être pas naturellement chez Allainguillaume dans nos Didots actuels :
avx vents.
A vous troppe legere,
Qui d’œle passagere
Par le monde volez,
Et d’un sifflant murmure
L’ombrageuse verdure
Doulcement esbranlez,
I’offre ces violettes,
Ces lis & ces fleurettes,
Et ces roses icy,
Ces vermeillettez roses,
Tout freschement écloses,
Et ces œilletz aussi.
De vostre doulce halaine
Euentez ceste plaine,
Euentez ce seiour ;
Ce pendant que i’ahanne
A mon blé, que ie vanne
A la chaleur du iour.
(Pendant que je copie ce Marty-Laveaux pour les imprimeurs, je m’applique tellement à bien former mon écriture, pour qu’il n’y ait aucune coquille, que si Bédier