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que pouvaient espérer les créanciers de la banque ?
— Par ce que j’eu tends dire autour de moi, leurs espérances sont à peu-près nulles, madame.
La dame parut très-affectée de cette nouvelle. Elle dit qu’ils étaient ses banquiers, et que c’était la seconde banque-route qu’elle éprouvait.
Sir Fax, lui exprima son étonnement de ce qu’elle avait été deux fois victime d’un pareil malheur ; ce qui lui paraissait en contradiction avec le vieux adage : que chat échaudé craint l’eau froide ; il ajouta, que pour sa part, il était étonné que quelques personnes pussent y être prises, après avoir vu le danger signalé dans tous les pamphlets.
— En vérité, dit-elle, j’ai mieux à faire, que de m’occuper de politique, et