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— Lire d’anciens livres ! la chose peut être agréable pour quelques personnes ; mais vous oubliez que j’ai été à l’académie, que j’ai fini mon éducation et que pour compagnon de voyage, j’ai le vieux Pindare.

— Pindare a écrit des odes sur la manière de conduire un char, comme Anacréon en a fait sur les plaisirs de la table ; mais l’un ne peut pas plus être cité pour la moralité des coups de fouets, que le second pour la tempérance. Certes, il ne peut y avoir de comparaison entre nos cochers, petits-maîtres, et les courses olympiques. Bien, Forester, je me rappellerai des sujets contre lesquels je vous ai entendu déclamer, et je vous promets que quand nos évêques imiteront la tempérance et l’humilité des premiers apôtres ; quand les hommes en place seront conduits par les principes qu’ils professaient avant leur