entra dans une grande cour, d’une architecture plus récente que l’extérieur du château bâti dans un style qui tenait un heureux milieu entre les temps féodaux, vulgairement appelés barbares, et le dix-neuvième siècle, communément nommé l’âge de lumières ; ce qui n’est pas vrai au dire de bien des gens.
La porte intérieure fut ouverte à son tour par un autre valet également avancé en âge ; avec l’imperturbable décorum et les formalités de la vieille école, il conduisit les dames à travers une élégante colonnade, jusqu’à la bibliothéque, qu’on ne peut décrire qu’en disant que l’appartement était gothique et les meubles grecs.
Les fenêtres, dont les glaces ne paraissaient pas avoir été lavées depuis longtemps, s’ouvraient en partie sur un bois qui invitait à la méditation. Il paraissait,