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pieds et des coups de poings ; il se contenta de nier, qu’il écrivit des ouvrages pour prouver que ses vers étaient bons ; il protesta que tous les articles sur ses poëmes, sortaient de la plume de ses amis Mystic de Cimmerian-Lodge, et Vamps, éditeur de la revue.

Oui, dit M. Derrydovvn, j’en conviens, ils sont les principaux acteurs de cette misérable cabale, qui déprécie tout ce qui est bon et beau, qui remplit les paragraphes des gazettes, des panégyriques éternels de ses amis, et qui calomnie tous ceux qui ont assez de talens, pour les effrayer, et pas assez de bassesse pour les imiter.

La colère de sir Feathernest passa toutes les bornes. Oh ! pourquoi, s’écriait-il, en brandissant son in-quarto, pourquoi mon ennemi n’a-t-il pas écrit un livre ;