Cette page a été validée par deux contributeurs.
LA MER.
De tes fougueux désirs où t’emporte l’audace ?
Sur la foi des autans insensé qui s’endort !
Vois ! le ciel s’obscurcit, la tempête menace ;
Baisse, baisse la voile, et regagne le port.
LE LAC.
Poète, à la beauté viens frayer une route ;
Saisis la rame agile et sillonne mes eaux.
La lune brille aux cieux : viens ! la céleste voûte
Dans un miroir d’azur réfléchit ses flambeaux.