Page:Paul Vibert - Mon berceau, 1893.djvu/107

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
102
le mètre

paraissait pas tant que cela redouter le froid, le chaud, l’humidité ou les trépidations, et, en tout cas, j’aime mieux le voir là qu’au fond d’une cave à dix pieds sous terre, il rend plus de services aux jolis trottins qui mesurent en passant la pièce d’organdi achetée tout à l’heure au Louvre parmi les derniers rossignols.