Accueil
Au hasard
Se connecter
Configuration
Faire un don
À propos de Wikisource
Avertissements
Rechercher
Page
:
Paul Leroy-Beaulieu,Le travail des femmes au XIXe siècle,1873.djvu/466
Langue
Suivre
Modifier
Cette page n’a pas encore été
corrigée
Chapitre
II. — De l’état physique et moral des femmes employées par la grande et par la petite industrie. — Des mesures législatives proposées pour améliorer et protéger la santé et la moralité de l’ouvrière.
213
Chapitre
III. — Des lois et des coutumes régissant le travail des femmes à l’étranger et en France.
245
TROISIÈME PARTIE
DES MOYENS DE RELEVER LA CONDITION DES FEMMES ET DE RECONSTITUER LA FAMILLE OUVRIÈRE.
Chapitre
I. — Du perfectionnement de l’instruction des femmes. — Des nouvelles carrières qu’on leur pourrait ouvrir. — De l’enseignement professionnel des femmes en Angleterre, en Allemagne et en France.
289
Chapitre
II. — De la concurrence faite aux ouvrières par le travail des prisons, des ouvroirs et des femmes du monde. — Des moyens d’atténuer et de supprimer même les mauvais effets de cette concurrence.
353
Chapitre
III. — Des machines à coudre, broder, piquer et tricoter.
395
Chapitre
IV. — Des internats industriels pour les jeunes filles.
410
Chapitre
V. — D’une meilleure économie industrielle des manufactures, — De ce que l’on peut attendre des perfectionnements nouveaux dans la mécanique. — Des moyens propres à développer la bonne tenue des ménages d’ouvriers et à leur permettre d’acquérir plus de bien-être avec moins de ressources pécuniaires. — Conclusion.
426
Appendices
. — Note sur la fondation et le développement des écoles professionnelles pour les femmes à Paris.
459
Extrait
du Rapport de M. Dumas à l’Académie des Sciences (1872) sur la couseuse automatique de
M
lle
Garcin et de
M.
Adam.
461
FIN DE LA TABLE
Paris
. — Imprimerie Vieville et Caplomont, 6 rue des Poitevins.