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exigences du texte, la rédaction du traducteur désireux d’en déformer le moins possible la pensée. Lord Byron disait « qu’une des calamités attachées à la gloire d’un poète était celle d’être traduit dans une langue étrangère. »

Certes, une traduction évapore toujours d’une façon plus ou moins absolue le charme du style de l’auteur et la lecture des originaux, à ceux à qui elle est possible est infiniment plus attrayante, « mais faute de grives on mange des merles ».


Guillon, juillet 1924.


Dr L. VIGNES.