Page:Pataud, Pouget - Comment nous ferons la Révolution, 1909.djvu/303

Cette page n’a pas encore été corrigée

Conclusion


Nous voici parvenus à la fin de notre tâche. Nous avons évoqué, — trop imparfaitement il est certain, — la grande période révolutionnaire qui a transformé la France, lui apportant paix, bien-être, liberté !

Certes, la société nouvelle n’est pas parfaite. Bien des critiques peuvent être formulées. Il y a encore des frottements et des tiraillements. Le régime de la production laisse à désirer, de même le système de répartition…

Oui, l’idéal n’est pas atteint !… Le sera-t-il jamais ?…

Mais, si des ombres existent encore au tableau, du moins le mal de misère est vaincu et la route de l’avenir est déblayée, libre d’obstacles !

Nulle force coercitive ne peut se mettre en travers de l’évolution.

Comme nul n’a plus intérêt à ce que se perpétuent