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T A J’ LE DES Roussillon. Lettres explicatives du traité conclu avec le Duc de Bourgogne, relati vement an Roussillon, p. 138, note b. Roussillon. Voyez, sur le comté de Roussillon , p. 370 , note b, et au mot Arragon. RouvRAY. Affranchissement de ses habitans par l’abbé de Saint-Germain d’Auxerre. Discours préliminaire , p. 1. Rovère (Le cardinal de la). Il étoit neveu du Pape Sixte IV, et portoit le titre de Saint-Pierre-ès-liens ; quelle fut sa conduite en France, p. 196, note c. Autorité que le Roi lui accorde. Voyez Bénéfices. Rue, en Pont/iieu. Les habitans de cette ville s’étoient rendus au Roi, et avoient piété serment entre les mains du sire de Torcy, grand-maître des arbalétriers de France ; le Roi, pour les en récompenser, confirme tous leurs privilèges, et leur accorde des lettres d’abolition pour les crimes Matières. 851 et délits qu’ils auroient commis, et pour les condamnations qu’ils auroient éprouvées, p. 238. Rue, en Ponthieu. Le Roi, considérant que, par l’effusion et grâce du Saint-Esprit, il est toujours advenu au-dessus de ses affaires , nonobstant quelconques trahisons, machinations et conspirations, désirant, en reconnoissance de ce, affranchir et accroître la ville de Rue, en l’église de laquelle le benoît Saint-Esprit est révéré, déclare ses habitans quittes et exempts de toutes impositions mises et à mettre pour les gens de guerre , p. 267. Lettres royales portant règlement pour les privilèges accordés à la ville de Rue en Ponthieu, p. 4°9> note a. Rue ( Saint-Esprit de ). Le Roi accorde des lettres d’amortissement à cette église, p. 5 /41 » note <1. Saint-BenoÎT ( Jacques de ), de la cité d’Arras. Le Roi lui fait don de la basse et moyenne justice dans les paroisses de Bertigny , Marolles, Saint-Michel et Stains, p. 599. Voyez Arras. SAINTE-GAMELLE. Vovez Lauraguais. SaiNTE-CatheriNE. Voy. Val des Écoliers. SAINT-DENIS ( Abbaye de ). Confirmation de lettres accordées par Charles-Ie-Chauve à l’abbaye de Saint-Denis et à ses sujets, qui l’exemptent de difiérens droits perçus sur les marchandises qu’elle fait venir, tant pour les objets ordinaires de la vie que pour tous ceux dont ils pourroient trafiquer, p. 106. Exemption d’impôts sur les chevaux, jumens et autres animaux de monture qui seront vendus à Saint Denis ou dans les villages qui en dépendent, tels qu’Aubervilliers et Saint-Ouen, pendant la foire du I.andit. Des ordonnances rendues par les élus de Paris avoient voulu soumettre à des rétributions les animaux amenés pour être vendus. Le Roi ordonne de nouveau que les marchands soient francs et quittes de toute subvention, voulant que sa première déclaration soit entièrement observée, sans enfreindre, p. 386. Lettres concernant les marchands de draps pour les foires de Saint-Denis, p. 530, note a. Saint-Denis. Lettres du Roi concernant le don de la châtellenie de Rueil fait par Charles-le-Chauve à l’abbaye de Saint-Denis , p. 3 66 , note a. Saint-Denis. A l’occasion de la dévotion particulière que le Roi et ses prédécesseurs portoientà Saint-Denis, cette abbaye avoit Tome XVIII. été exempte de toute justice et juridiction ordinaire du prévôt de Paris, des baillis de Senlis et Montargis et autres ; des prévôts et autres officiers y avoient exercé de tout temps une juridiction dont les appellations ressortissoient devant le bailli, et du bailli, par appellation encore , en l’assise qui étoit tenue par l’abbé de Saint-Denis. Les hommes et sujets pouvoient ainsi en appeler plusieurs fois avant d’en venir au Parlement de Paris. Aucune amende n’étoit payée pour les frivoles appellations jusqu’au jugement de cette cour. Les inconvéniens qui en résultoient firent ordonner par le Roi que désormais des amendes, dont son ordonnance fixe la quotité dans les differens cas qui pourront se présenter, seront imposées désormais pour les appellations rejetées, lesquelles amendes seront au profit de l’abbaye et église de Saint-Denis, p. 561. D’autres lettres donnent une nouvelle extension au privilège accordé à l’abbaye de Saint-Denis, concernant le jugement de ses procès, p. 563. Elles exemptent de la juridiction du bailli de Montargis plusieurs lieux appartenant à l’abbaye de Saint-Denis qui y avoient été soumis jusqu’alors, et font porter leur cause au Parlement de Paris, p. 564* SaiNT-EdmoND dePontigny. Le Roi assigne à ce monastère 1200 livres de rente à prendre sur le domaine du comté de Champagne, p. 364vnote a. Saint-Esprit (Eglise du). Voyez Rue en Ponthieu. Saint-Eutrope. Don fait au couvent de Ppppp ij