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844 Table des Dauphiné. Le Roi promet par les mêmes lettres de maintenir les franchises et coutumes de tous les habitans de la principauté d’Orange, sans y rien changer, et de les défendre comme ses bons et loyaux vassaux et sujets, ainsi que de ne les jamais rendre contribuables en aucuns impôts et subsides qui se mettroient et leveroient, par lui et ses successeurs , dans le pays de Dauphiné, en son royaume et ailleurs, pour quelque cause ou occasion que ce soit ou puisse être, p. 121. Orange ( Cathédrale d’). Le Roi met sous sa protection les doyen, prévôt et chapitre de Notre-Dame de Nazareth , église cathédrale d’Orange, ainsi queleurs^propriétés, P* 534- OR3EC. Le Roi donne à aumône et amortit la vicomté d’Orbec à l’abbaye Notre-Dame de la Victoire avec toutes ses dépendances, p. 135. Voyez Notre-Dame de la Victoire. Matières. Ordre. Voyez Saint-Michel ( Ordre de). ORDRE MILITAIRE. Voyez Saint - Jean de Jérusalem. ORGE (Isabelle d’), épouse de Simon de Monstereul, p. 79. ORLÉANS. Voyez Blois, Douaire, Draps (Marchands de), Serruriers. ORLÉANS (Anne d’). Elle obtient du Roi la confirmation des privilèges du monastère de Fontevrauld, dont elle étoit abbesse, p. 508 et 509. ORLÉANS (Charles d’),Comte d’Angoulême, père de François I." Voyez Angouléme. OsT. Du service qui portoit ce nom. Sa distinction d’avec la chevauchée. Discours préliminaire, p. ij. Os t. Voyez Bourges. Oublie, Oblie, Obliage. De la redevance que ces mots exprimoient. Discours préliminaire , p. xxxiij. Si l’c>n doit la confondre avec ce qu’on appela oblatio, ibid. PACAGE. Voyez Pasnage. PAEN (Pierre), seigneur de Chauvray. Le Roi lui accorde un amortissement, p. 304, note a. PAIN. Voyez Moulins. Voir aussi le Discours préliminaire, p. xxj et note i. Pain. Lettres relatives à la fabrication et à la vente du pain, p. 675. Voyez Meaux. PAIRS , Pers. Officiers municipaux désignés parce nom. Voye^ les p. 200, 201 , 202, 203. PAIX (Traité de). Traité de paix et de ligue entre Louis XI et Galéas Duc de Milan , le 9 août 1476 , p. 1 > note a. Paix. Voyez Bretagne. Palage, Pellage. Quel droit ce mot exprime. Discours préliminaire , p. xlj. Voir la p. xiij. PALATIN du Rhin ( Comte). Trêve entre la France et la Bourgogne déclarée commune avec lui. Voy. Bourgogne (Charles Duc de). PAN AGE. O11 désigna ainsi un droit levé pour la pâture des bestiaux, p. 18, note b. Voyez Pasnage. PAPES. Décimes qu’ils lèvent sur le clergé. Autorisation qu’ils accordent au Roi d’en lever pour la guerre. Discours préliminaire, p. liij. Droits qu’ils prélèvent aussi sur les bénéfices vacans, ibid. note e. Lettres royales qui défendent de lever au nom du Pape des subsides à la levée desquels le Roi n’auroit pas consenti, ibid. p. liv. Prétention des ecclésiastiques qu’ils ne peuvent payer aucun subside sans la permission du Pape, ibid. Exemptions prononcées par le Roi relativement à un Jemi-dixième levé par le Pape. Voyez Parlement de Paris et Université. Papes. Voyez Bénéfices, Décimes, Ecclésiastiques , Philippe Ic-Bel, Saint-F/our. PAR APHE. Voyez Nom et Notaire-clerc du Roi. PA RAT Æ, PASTUS. Voyelle Discours préliminaire , p. xiij. PARCAGE. Objet et paiement de ce droit. Discours préliminaire, p. xxix. PARCEVAL. Voyez Montferrand( Léon de). PARDIAC ( Comté de ). Don que le Roi en fait au Comte de Foix, p. 289 , note a. PaRIAge. Sur cette association d’une église avec un seigneur, et même avec le Roi, pour accroître son autorité, voye^ la p. lviij du Discours préliminaire. Différens caractères qu’avoit cette association, ibid. p. lviij et lix. PARIS. Le gouverneur de la ville de Paris et de l’Ile de France avoit exposé que, parmi les privilèges dont cette cité étoit dotée, 011 comptoir, entre autres choses, que les vivres et marchandises devoient y être conduits sans retard aucun, et sans être retenus sous aucun prétexte, ni soumis à autres contributions que celles de péages et coutumes anciens. Depuis quelque temps, les officiers du Roi avoient publié des ordres pour que personne ne transportât hors des limites de sa province les productions des champs : on arrêtoit en conséquence celles qui venoient a Paris ; on levoit des droits nouveaux plus forts ; tout cela au préjudice et dommage de cette ville et de la chose