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84o Table des où, par inadvertance ou par importunité, il en auroit concédé, le chancelier refuse de (es viser, p. 149. Quelle étoit la peine réservée aux faux monnoyeurs d’après les capitulaires, ibid. note a. MoNS , pour monceau, p. 41 S » note MONSTIERVILLIERS. Voyez Draps ( Marchands de ). Montaigu ou Montagu. Le Roi acquiert la terre de Montaigu en échange de Montmorillon , Sangon , Nantras et Champagne en Saintonge, p. 11, note d. Don qu’il fait de la terre de Bernay à Louis de Graville , seigneur de Montagu , p. 159, note a. Voir aussi la p. 539 , note a. Lettres concernant le transport fait au Roi de la terre de Montagu, p. 476, note a. Montaigu. Lors de la réunion de la baronnie de Montaigu au domaine de la couronne, le Roi l’avoit séparée de toute redevance et soumission à la vicomté de Thouars ; il sembloit résulter que, pour le ressort de justice, Montaigu ne devoit plus dépendre que du Parlement, sans ressortir médiatement à Poitiers et à Thouars. Le Roi, en conséquence, y institue un siège royal, p. 529. „ Montaigu. Etablissement d’une foire à Monraigu , p. 599, note a. Montaigu. Voyez Bourbon, Graville, Har court ( Le Comte d’-). MONTARGIS. Durée qu’y avoit l’exercice du droit de crédit. Discours préliminaire, p. xiij. Montargis. Guillaume de Souplainville, bailli de Montargis, obtient des lettres du Roi qui lui accordent une surséance pour la prestation du serment à l’occasion de son office, p. 1 84-Montargis. Le bailliage de Montargis étoit en la possession de Jean de la Rivière. Le Roi, l’en ayant privé, l’avoit conféré à Guillaume de Souplainville, et avoit accordé à ce dernier des lettres de surséance pour le serment qu’il devoit prêter en sa qualité de bailli ; dans la crainte qu’on n’élevât quelque difficulté à raison de cette faveur, le Roi ordonne à Jean de la Rivière, ancien bailli, de quitter immédiatement son office, p. 190. MoNTAUBAN. Les consuls de Montauban exposèrent au Roi qu’ils avoient eu de tout temps juridiction civile et criminelle pour tous les crimes commis dans leur cité ; mais que, Montauban n’ayant qu’une seule prison dans une maison vieille et qui menaçoit ruine, et où le sénéchal de Quercy avoit coutume de résider, cette maison Matières. d’ailleurs étant située vis-à-vis de l’église, ce qui favorisoit l’évasion des prisonniers, il devenoit nécessaire de faire construire une prison nouvelle. Les lettres du Roi lui accordent à c ;Jt effet toute l’autorisation nécessaire, p. 2,13. MonTBEL ( Comte de ). Le Roi lui donne la terre de Chartrousse, dans le Dauphiné, p. 308 , note a. MonTCHABRIER, en Quercy. Ordonnance relative à ses serfs. Voyez Philippe-le-Bel et la p. xvij du Discours préliminaire. MonTDIDIER. Voyez Mouture. Montferrand (Léon de), autrement Parceval. Lettres de légitimation qui lui sont accordées en 1474 » P- 26, note a. MONT FORT. Voyez Laval, Neaufie-le-Châtel. Montmorency. Acte de 1122 relatif à un fief épiscopal qu’un membre de cette famille possédoit. Discours préliminaire, p. lix. Montpellier. Etablissement d’un mon noyeur dans cette ville , p. 3 o4, note a. MoNTREUIL-SUR-MER. Autorisation donnée aux habitans de Montreuil d’imposer des droits sur les marchandises qu’on y vendra, ou dans sa banlieue, p. 553. MoNTREUIL./WJ de Vincennes. Exemption accordée à ses habitans. Discours prélimi naire, p. vij. MONTROUSIS. Voyez Arragon. MoRlERS. Voyez Carmagnac. MORINE (Bêtes de ). Voir l’explication de ce mot, p. 703 , note f. MoRLHON (Antoine de). Don que le Roi lui fait du droit de haute justice dans sa terre de la Roquette, p. 493» note a-MoRTAILLE. Droit exercé sur les biens du serf mort. Voir, sur ce droit, l’étendue qu’il eut d’abord et les modifications qu’il reçut, la p. xxxiv du Discours préliminaire. MoRTUAGE. Contribution prélevée sur les biens du mort qui n’avoit rien laissé à l’église. Discours préliminaire, p. Ivij. Réduction faite sur ce droit, ibid. Droit prétendu par les curés d’avoir le lit des gentilshommes qui mouroient dans leur paroisse, ibid. MOULIN du seigneur. Obligation d’y faire moudre son blé, et de faire ensuite cuire son pain au four seigneurial. Amendes et confiscations prononcées contre ceux qui y manqueroient. Discours préliminaire, p. xix et xx. De quelques cas cependant qui pouvoient soustraire à cette obligation, ibid. Jusqu’où s’étendoient les effets de la banalité, ibid. p. xx. Droit de mouture et de fournage, ibid. Diverses lois relatives à ce droit, ibid. xx. Sur les porteurs de pain