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ne feraient de beaucoup d’autres pièces plus finies ; ces fragments de M. Pascal donnent des ouvertures sur toutes les matières dont ils traitent, qu’on ne trouverait point dans des volumes achevés. Ainsi, selon mon jugement, on ne doit pas envier au public le présent que lui font les amis de ce Philosophe Chrétien, des précieuses reliques de son esprit ; et non seulement, je ne trouve rien qui en puisse empêcher l’impression, mais je crois que nous leur devons beaucoup de reconnaissance du soin qu’ils ont pris de les ramasser. Donné à Paris le 5 Septembre 1669.

François Malet de Graville Drubec.