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TABLE ALPHABÉTIQUE DES PENSÉES[1].

A

Abraham ne prit rien. 253, vi.

Adam forma futuri. 194, viii.

Ainsi ces discours sont faux. 127, xii.

Ainsi tout l’univers apprend. 129, xi.

Alors Jésus-Christ. 207, iv.

A mesure qu’on a plus. 261, iv.

Athéisme, marque de force. 156, xiv.

Avant que d’entrer. 143, n. 5.

Avec combien peu d’orgueil. 225, ix.

Ayant considéré d’où vient. 179, vi.

B

Bassesse de l’homme. 131, v.

C

Car il ne faut pas. 71, vii.

Ce chien est à moi, 118, i.

Cela est admirable. 121, x.

Ce n’est pas avoir été captif 206, xiii.

Ce n’est pas dans Montaigne. 262, ii.

Ce n’est pas ici le pays. 281, xv.

Ce n’est pas par ce qu’il y a. 161, v.

Ce n’est pas une chose. 63, ii.

Ce que les hommes. 167, iv.

Ce que Montaigne a de bon. 262, iii.

Ce que peut la vertu. 114, xiv.

Ce qui fait qu’on ne croit pas. 276, i.

Ce qui m’étonne le plus. 154, x.

Ce qui nous gâte. 272, XVI. Certains auteurs. 263, v. César était trop vieil. 113, x. Ces deux états étant ouverts. 174, iv. Ce sera une des confusions. 68, iv. Ces filles, étonnées. 281, xvi. Ces grands efforts d’esprit. 114, xvi. C’est cette partie décevante. 88, l. C’est donc une chose. 155, n. i. C’est en vain, ô hommes ! 173, il. C’est être superstitieux. 247, xxil. C’est l’effet de la force. 1 14, xv. C’est une chose admirable. 167, II. C’est une chose déplorable. 93, V. C’est une chose étonnante. 204, iv. C’est une chose horrible. 134, v. C’est un effet qui excède. 178, l. C’est une plaisante chose, m, viii. C’est un grand avantage. 95, il. C’est un héritier qui trouve. 132, m. C’est visiblement un peuple. 198, li. Cet homme si affligé. 104, n. 3. Cette considération. 234, il. Cette duplicité de l’homme. 130, I. Cette guerre intérieure. 98, vu. Cette religion qui consiste. 222, 11. Cette secte se fortifie. 154, ix. Ceux que nous voyons. 67, xvi. Ceux qui croient sans. 67, xvii. Ceux qui dans. 244, vill. Ceux qui espèrent leur salut. 140, vi. Ceux qui font. 261, vill.

  1. Nous donnons ici les premiers mots français de chaque Pensée, et non les rubriques ou titres, soit français soit latins, qui précèdent souvent le texte même des Pensées dans le manuscrit et les diverses éditions de Pascal. — Le chiffre arabe marque la page du présent volume ; le chiffre romain marque le n° d’ordre de la Pensée ; la lettre n suivie d’un chiffre arabe se réfère aux notes mises au bas des pages.