— Excusez, c’est que comme on n’en a point parlé dans le monde savant.....
— Oh ! le monde savant ne parle jamais de moi.
— Une histoire de César doit cependant faire une certaine sensation.
— Celle là n’en a fait aucune ; on l’a lue, voilà tout. »
Madame du Deffand, par Alex. Dumas. — Paris, Cadot,
1856-1857. 8 vol. in-8, 40 fr.
Les éditeurs Michel Lévy ont publié le même ouvrage en 1862, sous le titre : Mémoires d’une aveugle, avec la suite : Les confessions de la Marquise.
Ensemble, 4 vol. in-12, 4 fr.
Le Lièvre de mon Grand’Père. — Paris, Cadot,
1857. 1 vol. in-8, de 311 p. 5 fr.
« Vous le savez, cher lecteur, il est connu (des biographes bien entendu), que je n’ai pas fait un seul de mes douze cents volumes. »
« Mais comme je ne veux pas qu’à l’endroit du véritable auteur de ce livre plane la fâcheuse obscurité qui plane sur les autres, j’entreprends de raconter dans cette causerie-préface la façon dont il voit le jour, et, tout en me réservant le titre du parrain qui le tient sur les fonts de la publicité, de faire connaître son véritable père. »
« Son véritable père a nom : M. de Cherville. »
Les Compagnons de Jéhu, par Alex. Dumas. —
Paris, Cadot, 1857. 7 vol. in-8, 30 fr.
Roman intéressant qui a été inspiré à l’auteur, comme Les Blancs et les Bleus, par les Souvenirs de la Révolution, de Charles Nodier.
Le personnage de Roland et celui de lord Taulay lui ont été donnés par son fils, Alex. Dumas, à Sainte-Assise, près Melun, où celui-ci travaillait alors à sa pièce, La question d’argent.
Le Meneur de loups, par Alex. Dumas. — Paris, Cadot,
1857. 3 vol. in-8, 15 fr.