1834. — Vendrapedon ; dans le Journal des demoiselles. — Le maréchal de Gié ; id.
1835. — Promenade en Espagne ; id.
1843. — Daphné ; 19, 20, 24 et 22 novembre, le Messager.
1844. — Le Capitaine François de Civile ; 8 juin 1841, le Commerce.
1844. — Revue dramatique ; avril à juillet 1844, id.
1845. — Le Fou du roi de Suède ; 30 décembre, id.
1846. — Quelques mois chez les Amazoulous ; 8 janvier, Journal des Chasseurs.
Pétrus Borel a donné encore :
À la Revue de Paris, 1843, le Trésor de la caserne d’Arcueil.
Aux Français peints par eux-mêmes, deux types : le Croquemort ; le Gniaffe.
La troisième édition de la facétie intitulée : Comme quoi Napoléon n’a jamais existé (1836), est précédée d’une préface signée P. B., qui est de Pétrus Borel.
On cite encore de lui Une année de Bretagne, dans le Livre de beauté, recueil de portraits historiques publié chez L. Janet, éditeur rue Saint-Jacques, 1834. In-8, avec préface de Charles Nodier.
On a annoncé comme sous presse, de Pétrus Borel, sur la couverture de la Liberté, journal des arts, Paris, Normand, libraire, 1832, Graisse d’ours, un fort volume in-8, vignettes ; sur la couverture de Fortunio de Théophile Gautier, Paris, Desessart, 1838, Aimez-vous la cornemuse ? deux volumes in-8, et sur la couverture de Chants et Prières, poésies, par Ch. de Maricourt et Eug. Tourneux, Paris, Desessart, 1838, un autre roman, en deux volumes, La Belle Cordière.
Pétrus Borel a été le fondateur et le directeur de divers journaux : la Liberté, journal des arts ; la Revue pittoresque ; l’Âne d’or ; le Satan.
Les lettres autographes de P. Borel, rares et recherchées, sont d’une écriture ferme, régulière, très fine, en ronde renversée, sans ratures, d’un style vigoureux et imagé ; nous détachons de sa correspondance inédite avec Philothée O’Neddy, les passages suivants relatifs à Madame Putiphar :
« Non, mon cher, non, ces excellences ne m’ont rien expédié