— Mosaïque, par Philothée O’Neddy.
— Odes artistiques, par Théophile Gautier.
— Mater dolorosa, par Augustus Mac-Keat (Aug. Maquet).
— Essai sur l’incommodité des commodes, par Jules Vavre (ou Vabre), architecte.
L’exemplaire de Philothée O’Neddy, sans le frontispice, a été vendu 52 fr. Il portait :
« À mon cher O’Neddy, amitié. — Pétrus. »
— Deuxième Édition. — Bouquet, successeur de Levavasseur, au Palais-Royal, 1833.
Même tirage. On a ajouté une notice de x p. chiff. sur Pétrus Borel, Champavert le Lycanthrope. Le frontispice de Joseph Bouchardy est remplacé par une vignette eau-forte de Célestin Nanteuil : un ange vêtu d’un corset et d’une cotte au milieu d’un cartouche blanc où sont inscrits le titre et l’adresse de l’éditeur ; encadrement de figures diverses, têtes de morts,
médaillons, tableaux, livres, chevaliers armés, jeunes filles, démons, klephtes, effets de lune, ossements, etc., etc. ; en bas, un crucifix renversé ; signé Célestin Nanteuil. Broché avec la couverture, 30 fr.
Annoncés sur la couverture :
Du même auteur : — Faust, dauphin de France ; un fort volume in-8.
« C’est à vous surtout, compagnons, que je donne ce livre ! Il a été fait parmi vous, vous pouvez le revendiquer. Il est à toi, Jehan Duseigneur, le statuaire, beau et bon de cœur, fier et courageux à l’œuvre, pourtant candide comme une fille : Courage ! ta place serait belle, la France pour le première fois aurait un statuaire français. — À toi, Napoléon Thom, le peintre, air, franchise, poignée de main soldatesque, courage ! tu es dans une atmosphère de génie. — À toi, bon Gérard, quand donc les directeurs gabelous de la littérature laisseront-ils arriver au comité public tes œuvres si bien accueillies de leurs petits comités. — À toi, Vigneron, qui as ma profonde amitié, toi qui prouves au lâche ce que peut la persévérance ; si tu as porté l’auge, Jameray Duval a été bouvier. — À toi, Joseph Bouchardy, le graveur, cœur de salpêtre ! À toi, Théophile Gautier. — À toi, Alphonse Brot ! à toi, Augustus Mac-Keat ! à toi, Vabre ! à toi, Léon ! à toi, O’Neddy, etc. ; à vous tous que j’aime. »