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CHANT VII.

Laissant l’agneau qui bondit avec joie,
Rapide il fuit dans les buissons touffus,
Entend de loin les bêlemens confus,
Et sous sa dent mâche l’absente proie.
Veillez, bergers, veillez sur vos troupeaux.
Ne forcez point mes fidèles pinceaux
À retracer des images fâcheuses ;
Et que jamais dans mes rimes heureuses
Les loups adroits ne croquent les agneaux.


FIN DU SEPTIÈME CHANT.