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desséchera le riz que tes mains auront planté ; les poissons reconnoîtront et fuiront tes filets ; le baiser de ton amante sera froid et sans douceur ; une triste impuissance te poursuivra dans ses bras. Meurs, ô mon fils ! meurs une fois, pour éviter mille morts. Nécessité cruelle ! Redoutable Niang !

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