Page:Parnasse de la Jeune Belgique, 1887.djvu/297

Cette page a été validée par deux contributeurs.


La flûte, avec ses quatre trous,
Quatre regards de mélodie,
Quand elle est triste, psalmodie
Comme un martyr sous les verrous ;


Et rien n’y fait, ni les gendarmes,
Ni les huissiers, ni les tailleurs ;
L’air de flûte a toujours des larmes
En attendant des jours meilleurs !