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Gentiment tu t’endormiras.
Le vent sifflera par la porte,
Et je n’étreindrai qu’une morte
Raidie et froide entre mes bras !
Gentiment tu t’endormiras.
Le vent sifflera par la porte,
Et je n’étreindrai qu’une morte
Raidie et froide entre mes bras !