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Lasse enfin de cette parure,
À tes pieds, en monstre dompté,
Tu fis se coucher la fourrure,
Invincible en ta nudité !
Comme un chant guerrier l’odeur fauve
Jeta son cliquetis dans l’air,
Mêlant ses clameurs, en l’alcôve,
Au fier hosannah de ta chair.