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NOTE ADDITIONNELLE


M. Longnon a donné dans son édition, la seule dont on puisse maintenant faire usage (Paris, Lemerre, 1892), une bibliographie des éditions antérieures. Il n’entre pas dans le plan du présent ouvrage d’en dresser une des travaux dont Villon a été l’objet. Je me bornerai à compléter quelques indications sommaires. La fin du chap. I (p. 81) est empruntée à un intéressant discours de M. J. Théry sur le procès de Villon (A. Lévy, 1899). La note de M. Langlois sur Archipiada (p. 107) se trouve dans les Mélanges de philologie romane offerts à Carl Wahlund (Mâcon, 1896). Le petit livre de M. Bijvanck, cité p. 108, a paru chez Champion en 1891. La Romania a publié dans son tome XXI (1892) un article de M. Longnon et un autre de M. Piaget qui complètent ou rectifient sur certains points l’édition du premier. Les nouvelles découvertes de M. Schwob ont été en partie communiquées par lui à l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, et on trouve des résumés de ces communications dans les Comptes rendus de 1898 et 1899. Enfin je compte publier incessamment dans la Romania, sous le titre de Villoniana, un certain nombre de notes critiques concernant surtout le texte du poète.

Dans mes citations, en petit caractère, j’ai reproduit fidèlement le texte de Villon, en n’employant d’accents que sur l’é final, et avec une orthographe quelque peu simplifiée et régularisée ; j’espère que les explications de mots vieillis données en note suffiront à faire comprendre ces passages. Au contraire, ce qui est cité dans le contexte entre guillemets est traduit ou modernisé.

J’ai été fort embarrassé pour trouver à ce volume une