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sent dans le monde ; il faut songer à les marier ; elle discute avec Monsieur qui est très affairé.

Il fait mille démarches pour trouver un logement, s’occupe des moyens de transport, négocie pour payer les nouveaux achats et rencontrer les échéances, a des difficultés avec les compagnies d’assurance qui ne veulent pas que la maison demeure vacante.

Il rentre le soir ahuri et fatigué, aime mieux céder à toutes les demandes plutôt que de discuter avec sa famille.

Peut-il même discuter, le pauvre homme !

Madame lui démontre qu’il a oublié une grande partie de ce qu’il devait faire.

Le résultat de toute l’affaire, c’est qu’on décide d’aller à la Malbaie, et de laisser Monsieur en ville.

Passez maintenant pendant l’été devant la maison. Elle est close. La famille de Monsieur est rendue à la Malbaie. Lui, prend ses repas dans un restaurant où il est mal nourri, travaille plus que jamais durant le jour pour faire face aux dépenses devenues plus considé-