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4 AAB AAG

AAA, c’est un signe dont les Chimistes se servent pour signifier l’action d’Amalgamer.

AABAM ; substantif masculin. c’est le nom que certains Chimistes ont donné au plomb.

AACAU ; vieux mot qui signifioit autrefois en cachette.

AACH ; nom propre. Petite ville d’Allemagne, sur la rivière de ce nom, dans le comté de NeUenbourg en Souabe, à six mille pas du Danube : elle appartient à la maifon d’Autriche.

AACHEMENT ; vieux mot qui signifioit autrefois, appas, amorce.

AACHŒR ; vieux verbe qui signifioit


de Perse, qui vient des montagnes voisines de la mer Caspienne, & se jette dans le lac Roumi, à quatorze lieues de Tauris. Les eaux en sont mauvaises & ne nourrissent point de poissons. Il y a à une demie-lieue de Tauris, sur cette rivière, un Pont, près duquel on voit un sépulcre fort révéré des Persans. Il~ prétérident — qu’il renferme le corps de la fœur d’Iman Rifà.’A~GH< ? LM ; nom propre d’une petite—. Jle de la c8te de Norvège : elle eft au che. midi de l’embouchure dtt Lund~ :vand, vis-à —vis de l’ile d’Aanfire.

AAGIÉ ; vieux mot qui fignifioit autre—

· · ! —’ fOis majeur. autrefois, attirer, uzgager.. AAGNER ; vieux verbe qui fignifioit’’AA.CY ; nom, propre (r-un bourg dans autrefois., comred4re, tiifputer ave. : · le Valois, diocèfe de Meaux, à trE>i~ ehakur. lieues de cette· ville. · AAHUS ; Aah.ufuutt. Nom propre d’une— : AADE ; nom propre~une pètiteriviè— petit_ !  : ville d’Allemagne, dans ·lo— re du Brabant Hollandois : elle a Cercle de Wefiphalie, fur la· riviëra : cieux fomces dan’S le Comté de Horn ;. d’Aa : eUe appartient à l’Evêque dct & après le_s avoir réunies & s’~ tre Munfier qui y a un b~au chateau. encore divifée ~ réun~e ~elle fé jette AAIN EL~~N ; Rom propre.. C• èans le Dommel à ; Bots-fe-Duc :  : ~. mét, qut 6g1, 1i6c la-fontamc des Jdo— AAGEMENT ; vieux mot qui f, gni— Jes, défigne une ancienne viHe cfA~ —f ioit autrefois mrzjoritJ : · ·· J frique·alRoyaume·deFez : eUeétoit AAGER ; vieux verbe qui fignifioit au— affife dans une plaiRe entre plufieurs—. trefois, Jlclarer majeur ; montagnes fur le patra~e qui con· AAGGl DOGil ; noin propre. Mon— duit de Sofroi ·en Numid1e. Son nom · tagne de l « Amafie, fur les frontières —lui venoit d’un t~Jmple fitué près d’u— àe Perfe : c’eft oit patTent les cara— ne· fentaine, où les : hommes & les— — vannes qUi vont de Confiantinople femmescélébr~ienten certains temps. ·· ·à Ifphahan. COmm-e elle eft haute, ef.. des facrifices nofulrnes, qui fe ter… earpée & dangereu{e, qn lui a don· · minoient par la— profiitution des fern— Dé ·ce nom·, qui en langue Perfane mes ; mais celles qui av oient partici—. fi gnine montagne ttmke. Quand les pé à ces abominables myfieres, R’aP » ’earavannes arrivent au défilé de cette prochoient plus leurs maris d’un an ; — montagne, on compte les. chameaux & les en~s, qui étoi~ ! lt Ie fruit d~ & les chevaux fuT lefquels le cara— leur infâme commerce, étoient éle-— van Ba< : hi tire un droit a « ~·ft>rt’l vés par les Prêtres de ce temple, que clont il.· emploie-la moindre ~ttie à depuis les Mahométans ont détruit. faire efcorter la caravanne & s~at— AAlNNEESCHE, AISNEAGE, AINS— tribue le refter · NEETE ; vieux mots qui fignifioient. AAGGISOU ;  ; nom ptopw… Rivièl’e · autrèfois 1 le drpit /hJtne~..-, —