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LES TÉNÈBRES,


poème


DE LORD BYRON,


traduit


Par M. Paulin Paris.


Séparateur


J’eus un rêve qui n’était pas tout-à-fait un rêve. L’astre brillant du jour était éteint ; les étoiles, désormais sans lumière, erraient à l’aventure dans les ténèbres de l’espace éternel ; et la terre refroidie roulait, obscure et noire,