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LE RHÔNE.
à m. amédée achard.
Taillez en blocs forêts et monts,
Forgez des freins, scellez des ponts,
Comme un mors dans sa bouche,
Donnez-lui le roc à mâcher,
Mais empêchez-le de marcher,
Le Rhône âpre et farouche,
Qui descend des libres sommets
et va, sans se tarir jamais,