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(et celle, déjà remarquée, entre les signes logiques « », « » et les signes arithmétiques « », « »).
Par ex., si « », alors
Et de même, si a, b, c, d sont des ou sont des conditions, alors (d’après Leibniz):
88.89. 90. 91.
Fig. 14.
ainsi qu’il résulte de la fig. 11 pour les 88, 89 et de la fig. 14 pour les 90, 91.
Mais cette analogie n’est pas complète ; en effet, elle subsiste pour les deux premières des P
92.93. 94.95.
remarquées par Leibniz et qui sont valables soit pour des que pour des conditions (et que, dans le premier cas, on voit vérifiées dans les fig. 3 et 4 [p. 38]), tandis que les deux autres n’ont pas leurs analogues dans l’Arithmétique[1].
99. Si a est une , dire que « » signifie que « b est la contraire de a » [70].
Cette dernière relation étant symétrique [81], il s’ensuit que :
↑Des 95, 93 on déduit (soit pour des que pour des conditions), moyennant un syllogisme [ 47], que