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qu’elles représentent et des analogies remarquables entre certaines logiques et arithmétiques ; par ex., aux 18, 19, 20 [68] on peut ajouter ces autres qu’on obtient en complétant des formules déjà vues [49] par l’
« ».
00032.
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00033.
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00034.
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00035.
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Et l’on peut ajouter
00036.
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00037.
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Mais dans les applications on a préféré remplacer ces écritures par d’autres plus commodes, que je vais expliquer.
75. Si « », au lieu que « »
(« a n’est pas égal à rien »), on écrit « », où le symbole « » se lit « il existe des » ou « il y a des »[1].
Ainsi, par ex. [35] :
« il y a des carrés qui sont la somme de deux carrés. »
Dans le Formulaire on énonce que :
mais moi je préfère la
38.
moyennant laquelle on déclare aussi que l’écriture « » ne sera employée que si « », car de la 38 on tire :
39.
De la 38 il résulte aussi que, a étant donné, il peut arriver que « » [69] pour deux raisons différentes : il peut se faire que « » ou bien que « ».
Donc :
40.
Par conséquent, si « », au lieu que « » on écrit
« », où la suite de signes « » se lit « il n’existe pas des » ou « il n’y a pas des » ou « il n’y a aucun » ; ainsi, par ex., en écrivant d’une autre manière une déjà vue [40] :
- ↑ Le symbole « » est la lettre initiale du mot « existent », qu’on a renversée parce que la lettre « E » avait été déjà adoptée par Legendre, Théorie des nombres, a. 1808, comme symbole arithmétique (signifiant « l’entier de »).