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tits, l’autre des plus avancés, avoir jusqu’à deux cents enfans. On conçoit aisément que ce partage du travail dans les écoles très-nombreuses, est absolument nécessaire ; il faut, pour de pareilles écoles, deux maîtres et deux classes : un seul maître ne feroit les choses que très-superficiellement, ou il seroit bientôt épuisé ; au lieu que, quand un maître n’est chargé que des dernieres instructions, il a beaucoup plus de tems, de liberté et de facilité pour établir dans son école le bon ordre, le silence, l’émulation, pour bien apprendre aux enfans leur religion ; en un mot pour s’acquitter comme il faut de toutes ses fonctions.

§. IV. Est-il avantageux que les
Prêtres et les sujets qui se destinent
à l’Eglise soient employés aux Ecoles ?

Rien de plus facile à éclaircir que cette